Un prince héritier et une étudiante en médecine se rencontrent lors d’un bal. L’homme a la réputation d’être un coureur de jupons, et la jeune femme est plutôt du genre ordonné et exigeant. L’amour ne passe-t-il pas souvent par des flèches ? Et quand, même dans un royaume moderne, la princesse ou la reine est stérile, ne représente-t-il pas une menace sérieuse pour la dynastie ?

L’amour et les flèches ! les révèle d’une Afrique où, par le sexe, le fétiche ou l’arme, l’individu cherche à satisfaire ses appétits. Le destin est incontrôlable, mais les batailles pour le pouvoir, la fortune et même la survie font appel à l’homme, au diable et à… Dieu. Dans ce roman simple et sensuel, le désespoir précède l’espoir, l’abondance rencontre

Comment aborder l’autobiographie comme objet de la préface sans affronter le procès en trahison scientifique ? La biographie comme l’autobiographie constituent en effet des objets qui ne peuvent pas s’étudier en toute sérénité, même si l’on s’est finalement habitué à inscrire la première dans les différentes formes d’institutionnalisation de l’Étatsocial que sont les parcours de vie et les statuts d’âge.

En revanche, l’œuvre autobiographique est un modèle du genre en ce qu’elle se situe « quelque part » entre la littérature, la sociologie et l’histoire, ce qui rend son appréhension incertaine, même pour le préfacier qui doit faire obligation d’une posture improbable comme dirait Isabelle Charpentier pour être assuré d’en rendre compte.

L’univers cinématographique est un monde parallèle, mais un monde tellement identique à celui des humains, en ce sens que ce sont les humains qui, en jouant les rôles, le créent. Les acteurs quant à eux sont si heureux de vivre des vies multiples que leur octroie le cinéma, que parfois, ils confondent vie normale et scène de plateau. génies. Il est par conséquent, leur propriété à tous. Comme une seule main, ils le réalisent et comme une seule armée, ils sont prêts à le défendre.
Ils sont, pour la majeure partie, de conditions modestes, mais juste parce qu’ils ne sont pas rémunérés à la hauteur de leurs talents.

Pour échapper aux griffes des terroristes qui viennent de décimer la moitié de sa famille et qui retiennent encore captifs son fils unique Jonathan, le fils de Joss, et son demi-frère, la princesse Mérilée Mokdem : Celui d’épouser le capitaine Kaderamim Del Salim.
Ainsi s’ouvre une page d’amour aux couleurs mythiques et le séduisant et redoutable tortionnaire qui sait dire “Afrique” va d’une main ferme orienter la vie de la jeune femme et faire trembler son cœur. Mais réussira-t-elle à tourner à jamais la page de son passé ?

Que faire quand on se retrouve à l’âge adulte, en face de la mère génitrice qui nous a abandonné le jour de la naissance dans une poubelle ? Que faire quand on se rend compte après un an de mariage qu’on a épousé son demi- frère et qu’on attend un enfant de lui ?

Que faire enfin, quand les sirènes de la vengeance nous poussent à séduire notre beau-père ? Telles sont les interrogations graves qui hantent profondément les dix chapitres de ce roman.